Bureau Directeur
Président : Laurent Irazusta
Vice-Président chargé des finances : Claude Marcos
Secrétaire Général : Bernard Béhotéguy
Trésorière principale : Marie-Hélène Aubréjat
Membres du Bureau : Patrick Carrey, Pierre Goyeneix, Xabi Valdivielso
Membres du Conseil d’Administration
Marie-Hélène Aubréjat • Gérard Bafcop • Bernard Béhotéguy • Alain Betbeder • Alain Bret • Patrick Carrey • Agnès Davant-Bartheu
Jean-Henri Deburggraeve • Fabien Della Libera • Pascale Dubourg • Pierre Goyeneix • Bernard Grenet • Sophie Herrera
Laurent Irazusta • Léon Lachamp • Fabien Laclau • Caroline Legleu • Claude Marcos • Philippe Margot • Jacques Marty
Romain Mathey • Jean-Pierre Mathieu • Marie-Aurore Montero • Angel Piquemal • Xabi Valdivielso
Membre à titre consultatif : Jean-Louis Pontacq
L’Aviron Bayonnais : plus qu’une histoire, un mythe
Au cœur de Bayonne, à l’ombre des arcades de pierre du Théâtre, en cette fin août 1904, la colère s’échappe des discussions de groupes de jeunes qui, là, ont pris habitude de se réunir. À la chaleur ambiante s’ajoute la fièvre de la révolte. Ces gens-là sont des rameurs de la Société Nautique de Bayonne en butte à l’intransigeance de leurs dirigeants et du président Luis Oyarzun.
La scission est proche. Elle intervient après l’assemblée générale extraordinaire de la SNB du 17 août 1904 qui prononce la radiation d’Adolphe Bernard, un remarquable rameur au bouillant caractère. L’idée de fonder une société nouvelle prend corps. Le mercredi 14 septembre, vingt-huit « révoltés » pénètrent dans le « Café du Théâtre », traversent la salle, faisant fi des consommateurs et des joueurs de cartes. Ils empruntent l’escalier du fond qui les conduit au premier étage. « L’Aviron Bayonnais » vient de voir le jour. Son but est la pratique de la rame, ses couleurs, le bleu ciel et blanc. Ainsi en décide l’assemblée générale constitutive dont il n’y aura aucun procès-verbal.
Mais un bureau est constitué. Sans président, sur proposition de Guillaume Lamothe. Pas question de tomber dans les travers de la SNB. Martin Noblia, le secrétaire le précise d’ailleurs dans le courrier du 28 janvier 1905 demandant l’affiliation à l’Union Nautique des Sociétés du Sud-Ouest.
« Conformément à l’article 7 des statuts nous vous donnons ci-après la composition de notre bureau : Secrétaire : M. Noblia ; Secrétaire adjoint : Pierre Bargeles ; Trésorier : Moumas ; Trésorier adjoint : Dupere ; conservateur du matériel et chef d’entraînement : Guillaume Lamothe. Comme vous le remarquez, il n’y a pas de président, chacun en faisant les fonctions en séance à tour de rôle. Cette formation est voulue ».
Premiers exploits
La crédibilité passe par les résultats. À la fin du mois d’avril de cette année 1905, déjà une course de yole de mer à quatre, à Nice, apporte quelques encouragements. Le public bayonnais attend, avec une impatience non dissimulée, les régates de la Société Nautique. Elles ont lieu le 16 juillet.
Ce jour-là, on se bouscule sur les bords de l’Adour pour assister aux joutes entre la Société Nautique de Bayonne et l’Aviron Bayonnais. L’Aviron Bayonnais ravit les premières places : en skiff, en yole de mer à quatre, en quatre de pointe.
Enfin, dans la course reine, le huit de l’Aviron sur le « Essayons » devance le « Mousserolles » de la Société Nautique. Un seul succès reviendra à l’aîné des clubs, en deux de pointe. Alors, les pensionnaires de Mousserolles ne rêvent que de revanche. Elle se présente le 3 septembre lors des régates de l’Aviron Bayonnais. Plusieurs milliers de personnes longent l’Adour et se massent à l’arrivée aux Allées Marines. Elles assistent encore à la victoire écrasante de l’Aviron Bayonnais. En skiff, en yole de mer à quatre, en quatre de pointe juniors, en construction libre à deux rameurs et enfin en huit de pointe, les bleu et blanc s’imposent. Pour parachever cette fantastique première saison, le 10 septembre à Arcachon, l’Aviron Bayonnais, avec un peu de chance, remporte son premier titre de champion de France, en yole de mer à quatre avec l’équipage désormais célèbre Halcet, Laporte, Ohaco et Forgues.
L’Aviron Bayonnais ajoute encore une ligne à ce palmarès prestigieux. Le 17 septembre à Saint-Sébastien, devant le roi Alphonse XIII, l’équipage champion de France enlève la Coupe du Roi. L’année suivante, en yole de mer à quatre, l’Aviron Bayonnais remporte à nouveau la Coupe du Roi d’Espagne, est finaliste du championnat de France et représente la France aux Jeux Pré-Olympiques d’Athènes de 1906.
Au cœur de Bayonne, à l’ombre des arcades de pierre du Théâtre, en cette fin août 1904, la colère s’échappe des discussions de groupes de jeunes qui, là, ont pris habitude de se réunir. À la chaleur ambiante s’ajoute la fièvre de la révolte. Ces gens-là sont des rameurs de la Société Nautique de Bayonne en butte à l’intransigeance de leurs dirigeants et du président Luis Oyarzun.
La scission est proche. Elle intervient après l’assemblée générale extraordinaire de la SNB du 17 août 1904 qui prononce la radiation d’Adolphe Bernard, un remarquable rameur au bouillant caractère. L’idée de fonder une société nouvelle prend corps. Le mercredi 14 septembre, vingt-huit « révoltés » pénètrent dans le « Café du Théâtre », traversent la salle, faisant fi des consommateurs et des joueurs de cartes. Ils empruntent l’escalier du fond qui les conduit au premier étage. « L’Aviron Bayonnais » vient de voir le jour. Son but est la pratique de la rame, ses couleurs, le bleu ciel et blanc. Ainsi en décide l’assemblée générale constitutive dont il n’y aura aucun procès-verbal.
Mais un bureau est constitué. Sans président, sur proposition de Guillaume Lamothe. Pas question de tomber dans les travers de la SNB. Martin Noblia, le secrétaire le précise d’ailleurs dans le courrier du 28 janvier 1905 demandant l’affiliation à l’Union Nautique des Sociétés du Sud-Ouest.
« Conformément à l’article 7 des statuts nous vous donnons ci-après la composition de notre bureau : Secrétaire : M. Noblia ; Secrétaire adjoint : Pierre Bargeles ; Trésorier : Moumas ; Trésorier adjoint : Dupere ; conservateur du matériel et chef d’entraînement : Guillaume Lamothe. Comme vous le remarquez, il n’y a pas de président, chacun en faisant les fonctions en séance à tour de rôle. Cette formation est voulue ».
Premiers exploits
La crédibilité passe par les résultats. À la fin du mois d’avril de cette année 1905, déjà une course de yole de mer à quatre, à Nice, apporte quelques encouragements. Le public bayonnais attend, avec une impatience non dissimulée, les régates de la Société Nautique. Elles ont lieu le 16 juillet.
Ce jour-là, on se bouscule sur les bords de l’Adour pour assister aux joutes entre la Société Nautique de Bayonne et l’Aviron Bayonnais. L’Aviron Bayonnais ravit les premières places : en skiff, en yole de mer à quatre, en quatre de pointe.
Enfin, dans la course reine, le huit de l’Aviron sur le « Essayons » devance le « Mousserolles » de la Société Nautique. Un seul succès reviendra à l’aîné des clubs, en deux de pointe. Alors, les pensionnaires de Mousserolles ne rêvent que de revanche. Elle se présente le 3 septembre lors des régates de l’Aviron Bayonnais. Plusieurs milliers de personnes longent l’Adour et se massent à l’arrivée aux Allées Marines. Elles assistent encore à la victoire écrasante de l’Aviron Bayonnais. En skiff, en yole de mer à quatre, en quatre de pointe juniors, en construction libre à deux rameurs et enfin en huit de pointe, les bleu et blanc s’imposent. Pour parachever cette fantastique première saison, le 10 septembre à Arcachon, l’Aviron Bayonnais, avec un peu de chance, remporte son premier titre de champion de France, en yole de mer à quatre avec l’équipage désormais célèbre Halcet, Laporte, Ohaco et Forgues.
L’Aviron Bayonnais ajoute encore une ligne à ce palmarès prestigieux. Le 17 septembre à Saint-Sébastien, devant le roi Alphonse XIII, l’équipage champion de France enlève la Coupe du Roi. L’année suivante, en yole de mer à quatre, l’Aviron Bayonnais remporte à nouveau la Coupe du Roi d’Espagne, est finaliste du championnat de France et représente la France aux Jeux Pré-Olympiques d’Athènes de 1906.
L’Aviron Bayonnais ajoute encore une ligne à ce palmarès prestigieux. Le 17 septembre à Saint-Sébastien, devant le roi Alphonse XIII, l’équipage champion de France enlève la Coupe du Roi. L’année suivante, en yole de mer à quatre, l’Aviron Bayonnais remporte à nouveau la Coupe du Roi d’Espagne, est finaliste du championnat de France et représente la France aux Jeux Pré-Olympiques d'Athènes de 1906.
Un nouveau sport
En marge du sport unique pratiqué à « l’Aviron Bayonnais » se développe dans la ville un nouveau jeu : le footballrugby. Le président du club bleu et blanc réfléchit alors sur l’opportunité d’abriter les joueurs sous ses couleurs. Joseph Larran sait que ses rameurs ne seront pas tous les ans champions de France et que pour assurer l’avenir de l’Aviron Bayonnais, il est nécessaire de l’ouvrir à d’autres activités. Mais Jean Nogues et Guillaume Lamothe craignent, l’un, les dépenses occasionnées par cette nouvelle activité, l’autre, la dispersion des rameurs sur les deux sports. Ils se rangent finalement à l’avis de leur président, et le conseil d’administration entérine la décision : l’aviron bayonnais s’ouvre au football-rugby. Ses adeptes viennent du lycée de Garçons, installé à Marracq.
Tous les jeudis et dimanches après-midi, au camp Saint-Léon, sur les glacis de la Porte d’Espagne, les lycéens s’adonnent à ce jeu bizarre, se passant un ballon aux courbes particulières. Ils ont été initiés par Pierre Fabre, né à Castets des Landes, qui en janvier 1897, à vingt ans, rejoint le lycée de Bayonne, ayant manqué la première partie de son baccalauréat au lycée Michel Montaigne de Bordeaux. Le Landais n’est toutefois pas resté inactif en Gironde. Il y a noué de solides amitiés, notamment avec un élève britannique épris de football-rugby. Ainsi, dès son arrivée sur le plateau de Marracq, Pierre Fabre transmet sa passion. Les Bayonnais mordent. Dès les premiers mois de 1897, le XV du lycée de Bayonne est formé. Le rugby ne reste pas l’apanage des lycéens. La contagion gagne le collège Saint-Louis de Gonzague puis les jeunes gens de Bayonne qui sont, le plus souvent, les adversaires
de choix du XV de Pierre Fabre au camp Saint-Léon. Naît ainsi, la première équipe de rugby de Bayonne, celle des lycéens qui prend pour nom "Les Montagnards".
Le Stade Bayonnais
À l’automne 1905, de jeunes bayonnais créent un club de rugby « le Stade Bayonnais » qui a son siège rue Lagréou. Dans la région, les seuls adversaires qu’affronte le Stade Bayonnais sont le Biarritz Stade et l’Aspremontoise de Peyrehorade. Puis vient la journée-clé qui incitera « I’Aviron Bayonnais » à prendre sous son aile le « Stade Bayonnais ».
Un certain Elisseiry, grainetier de la rue Port-de-Suzeye, organisateur hors pair, met sur pied le 10 juin 1906, un spectacle sportif fait de courses cyclistes, d’épreuves d’athlétisme et enfin, en apothéose d’une rencontre de rugby. Elle met aux prises le Stade Bayonnais à une formation composée d’élèves du lycée de Marracq et du collège Saint-Louis de Gonzague. Le succès populaire est surprenant.
Nouveaux horizons
Des contacts se nouent avec un club proche de Cardiff, le Penarth Football Club, qui, en mars 1910, viendra même sur la Côte Basque. Un an après, l’un de ses meilleurs éléments, Harry Owen Roe, accepte de poser, pour un temps, ses valises à Bayonne. Il y restera toute sa vie…
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Les 28 membres fondateurs
Louis Bargelès • Pierre Bargelès • Léon Barneix • Adolphe Bernard • Louis Bernard • Raoul Bernard • Adolphe Brand • Jean Daramy • Henri Dordosgoity • Paul Dousseau • Félix Duperé • Fernand Forgues • Paul Georges • Michel Guilbeau • Joseph Halcet •
Guillaume Lamothe • Joseph Laporte • Joseph Larran • Paul Larran • Léon Moumas • Martin Noblia • Jean Nogues •
Emmanuel Ohaco • Achille Reinflet • Émile Reinflet • Gabriel Rivière • Martin Sourbe • Léo Susbielle
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Les 13 insignes d’honneur
Françoise Aulanier • Jean-Claude Benoit • Jean Bouresmau • André Charbonnier • Robert Colomez • Jean Condon •
Marcel Constantin • Pierre Foix • Paul Labadie • René Labeyrie • Jean Mayerau • François Moulonguet • Jean Peyroute
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Les 16 présidents
Mars 1905-6 janvier 1910 : Joseph Larran
6 janvier 1910-22 décembre 1921 : Joseph Choribit
10 juin 1922-17 juin 1928 : André Forgues
27 juin 1928-10 octobre 1940 : André Frois
10 octobre 1940-31 juillet 1946 : Alfred Dubos
31 juillet 1946-8 septembre 1954 : Georges Darhan
8 septembre 1954-9 juillet 1959 : Henri Grenet
9 juillet 1959-30 juin 1965 : Robert Lahet
30 juin 1965-21 juin 1976 : Maurice Celhay
22 juin 1976-31 décembre 1989 Jean Grenet
2 janvier 1990-14 septembre 1993 : Jean-Louis Dumergue
15 septembre 1993-8 décembre 1996 : Jean-Pierre Dussarrat
9 décembre 1996-25 septembre 2000 : Jean-Michel Barnetche
25 septembre 2000-10 octobre 2001 : Max Duguet
15 octobre 2001-22 avril 2011 : Philippe Ducasse
Depuis le 2 mai 2011 : Laurent Irazusta
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Les 8 blasons d’or
Jean Grenet, président de l’Aviron Bayonnais et député maire de Bayonne
Jean Borotra, tennisman, ancien vainqueur de la Coupe Davis
Claude Bez, président des Girondins de Bordeaux
Philippe Chatrier, président de la Fédération Française de Tennis et de la Fédération Internationale de Tennis
Jean Dauger, international de rugby, figure emblématique du club
Gérard Forgues, directeur départemental de la jeunesse et des sports
Henri Grenet, président de l’Aviron Bayonnais et maire de Bayonne
Roger Meynard, président du Racing Club de France
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Les 87 médailles d’or
1924 : Jean Arnaudin • 1925 : Rémy Duplaa • 1926 : Pierre Marsan • 1927 : Albert Etchepare • 1928 : Harry Owen Roë •
1929 : Laurent Iguiniz • 1930 : Fernand Theodoly • 1931 : Charles Palassie • 1932 : Edouard Larroude • 1933 : Edouard Ainciart •
1934 : Paul Brouzeng • 1935 : Maurice Celhay • 1936 : Edmond Elissalde • 1937 : George Haitce • 1938 à 1949 : non attribué •
1950 : Jean Casteigt • 1951 : Jean Dauger • 1952 : Sauveur Catapon • 1953 : André Suhubiette • 1954 : Paul Labadie •
1955 : Alfred Herrera • 1956 : Laurent Garcia • 1957 : Marcel Geles • 1958 : Emile Canton • 1959 : Jean Lachaise •
1960 : Jacques Sorin • 1961 : Gilbert Larreguy • 1962 : Louis Forget • 1963 : Paul Fage • 1964 : Gérard Lalanne •
1965 : Jean Mendiboure • 1966 : Pierre Dubroca • 1967 : Georges Bergeron • 1968 : Roger Etcheto • 1969 : Louis Duboue •
1970 : Roger Beaudier • 1971 : Jean Perpere • 1972 : Pascal Etchepare • 1973 : André Loume •
1974 : Ernest Charrazac & Jean-Claude Larrieu • 1975 : Jean Iracabal • 1976 : Alfred Subrechicot • 1977 : Jeanne Peyre •
1978 : Louis Pauzat • 1979 : Jean-Claude Urrutiaguer • 1980 : Roland Petrissans • 1981 : Michel Duhalde •
1982 : Daniel Barnebougle • 1983 : Jean Saussie • 1984 : Guy Laborde • 1985 : Jean-Pierre Dospital • 1986 : Raymond Gavel •
1987 : René Arotca & Roland Dufourg • 1988 : Christian Belascain • 1989 : Claude Uthurrisq • 1990 : François Prat •
1991 : Patrick Perrier • 1992 : Laurent Irazusta • 1993 : Jean Garin • 1993 : Marcel Lafitte • 1994 : Jean Sordes • 1995 : José Alonso • 1996 : Max Duguet • 1997 : André Borel • 1998 : Jacques Bigorre • 1999 : François Unhassobiscay •
2000 : René Viguera • 2001 : Fernand Galvan • 2002 : Tony de Pellegrini • 2003 : Christian Sarramagna • 2004 : Guy Lannes •
2005 : Agnès Martiren • 2006 : Thierry Elissalde • 2007 : Alain Dubergier • 2008 : Henri Crutchet • 2009 : Patrick Carrey •
2010 : Lionel Petriacq • 2011 : Jean Elichagaray • 2012 : Ophélie Aspord & Perle Bouge • 2013 René Labeyrie • 2014 : Yves Vignau • 2015 : Françoise Aulanier • 2016 : Jean Dubroca • 2017 : Gérard Bafcop • 2018 : Jean-François Lassalle • 2021 : Dominique Gerbaud
• 2022 : Bernard Grenet • 2023 : Claude Marcos •
Athlétisme
3 titres de champion de France juniors (M)
2 titres de champion de France juniors (F)
2 titres de champion de France cadets (M)
2 titres de champion de France cadets (F)
3 titres de champion de France UFOLEP
3 titres de champion de France UFOLEP juniors (M)
1 titre de champion de France UFOLEP juniors (F)
2 titres de champion de France UFOLEP cadets
Champion de France vétérans
Champion d’Europe militaire par équipe
​
Aviron
42 titres de champion de France
Champion du monde
2 fois vice-champion du monde
2 sélections olympiques (Athènes 2004)
Médaille d’argent aux Jeux Olympiques (Londres 2012)
2 titres en Coupe du Roi d’Espagne
2e du Critérium d’Europe
Finaliste du championnat de France [47x]
​
Boxe
Finaliste du championnat de France par équipe
Champion de France universitaire
Champion de France UNSS
Champion de France militaire
Champion de France junior
Champion de France boxe éducative cadets
Canoë-Kayak
4 titres de champion de France en pirogue OC1
Champion de France en pirogue OC2
Champion de France Va’a V1
Champion d’Europe en pirogue OC2
Cyclisme
2 titres de champion de France universitaire (piste)
Vice-champion du monde
Champion de France par équipe 50 km (F)
Escrime
Champion de France Maître d’Armes
Vice-champion de France Maître d’Arme
​
Handball
Champion de France – 18 ans (F)
​
Judo
Champion de France 3e division
Champion de France 2e division (F)
Champion de France de la Police (F)
​
Lutte
17 titres de champion de France
​
Natation
Champion de France militaire
3 titres de champion de France 4e div. (espoirs)
Champion de France minines
2 titres de champion de France juniors
Champion de France universitaire
4 titres de champion de France cadets
Champion de France élite
Champion d’Europe junior 4 x 200
Vice-champion d’Europe junior 4 x 100
1 participation aux Jeux Olympiques (Londres 2012)
​
Pelote basque
45 participations aux championnats du monde
Champion du monde
303 titres de champion de France
Champion d’Europe (F)
​
Tennis
Vainqueur du Critérium de France
Champion de France par équipe 3e division
Champion de France 3e série ind.
Champion de France 4e série ind. (F)
Finaliste championnat de France vétérans/seniors par équipe
2 titres de champion de France (+ 75 ans)
2 titres de champion du monde (+ 75 ans)
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Rugby
Champions de France
1910 : 2e série (contre Évreux)
1913 : 1re division (contre le SCUF)
1920 : équipe II (contre Tarbes)
1924 : équipe II (contre le Stade Toulousain)
1929 : équipe III
1934 : 1re division (contre Biarritz)
1943 : 1re division (contre Agen)
1946 : juniors Reichel (contre Lyon OU)
1949 : équipe IV
1953 : juniors Reichel (contre Bourg)
1956 : équipe II (contre Toulon)
1958 : cadets
1959 : cadets
1963 : équipe II (contre Bourg)
1964 : juniors Crabos (contre le RCF)
1982 : équipe III (contre Béziers)
1988 : équipe III (contre Montchanin)
1989 : équipe III (contre Montchanin)
1996 : Reichel espoirs (contre Toulon)
1999 : élite B2 (contre Rumilly)
Finalistes du championnat de France
1922 : 1re div. (contre Toulouse)
1923 : 1re div. (contre Toulouse)
1944 : 1re div. (contre Perpignan)
1982 : 1re div. (contre Agen)
1934 : juniors Reichel
1955 : juniors Reichel
1961 : juniors Reichel
1985 : juniors Reichel (contre Dax)
Coupe Moga
1995 : vainqueur (contre Pau)
Challenge Yves du Manoir
1936 : vainqueur (contre Perpignan)
1980 : vainqueur (contre Béziers)
Challenge Gaudermen (cadets)
1982 : vainqueur (contre Graulhet)
Challenge des Provinces
1978 : juniors Reichel
1982 : Nationale B
1985 : équipe réserve
1989 : équipe réserve
1990 : équipe réserve
1991 : équipe réserve et juniors Reichel
1992 : juniors Crabos
1995 : juniors Reichel espoirs
1996 : Reichel espoirs
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Surf
5 titres de champion de France master
2 titres de champion de France longboard
7 fois finaliste du championnat de France open
4 titres de champion de France surf tandem
1 titre de champion du monde surf tandem
Depuis 1904, l’Aviron Bayonnais accueille des femmes et des hommes de tous âges et de tous niveaux, valides ou porteurs de handicap, pour pratiquer ensemble les disciplines sportives de leur choix. Qu’il s’agisse de loisir ou de compétition, l’Aviron Bayonnais a toujours privilégié une pratique sportive propre, saine et respectueuse de ses adhérents, sans exclusive :
-
respectueuse de l’âge,
-
respectueuse du genre,
-
respectueuse de l’origine,
-
respectueuse de la famille.
L’Aviron Bayonnais est un club à visage humain.
Souhaitant aller plus loin que de simples paroles et de simples bonnes intentions, nécessaires au demeurant, l’Aviron Bayonnais a inscrit dans le marbre d’une charte tous les principes qui guident et qui fondent son action, et qui préservent, avant tout, l’intégrité morale et physique de ses licenciés.
Une « charte du comportement » a ainsi été élaborée, puis validée en assemblée générale et, enfin, signée solennellement par tous les présidents de section sportive et par tous les administrateurs. Elle est connue de tous et elle s’applique à tous, dirigeants, éducateurs et pratiquants. Elle protège autant l’éducateur que le licencié.
Bernard Béhotéguy
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